Sirop de Rose, Tamarin et Datte-Jellab (3 bouteilles)

Présentation originale en bouteille pour cette mélasse de caroube issue du commerce équitable.

Produite par une coopérative de femmes du village de Menjez, dans le nord du Liban, cette mélasse de caroube (debs kharroub en libanais) est préparée dans les règles de l'art, sans conservateur. Les graines de caroubier sont rincées, concassées, puis pressés avant d'être chauffées doucement avec de l'eau. Le résultat est un sirop sucré que l'on sert souvent au petit déjeuner avec de la crème de sésame.

Les graines de caroubier étant naturellement sucrées la mélasse de caroube était autrefois utilisée pour sucrer les desserts lorsque l'usage du sucre n'était pas encore répandu.

On adore le conditionnement très pratique en bouteille munie d'un système anti-gouttes.

Le sirop de rose (Charab el ward) est obtenu à partir d'un sirop de sucre parfumé à l'eau de rose.

L'eau de rose, quant à elle, est obtenue par distillation de pétales d'une rose spécifique - Jouri - particulièrement odorantes.

Retrouvez toutes les saveurs du Liban en dégustant ce sirop de mûres cuites à petit feu. Ce sirop de mûres issues de mûriers plantés à 1200 mètres d'altitude (Charab tout) est préparé exclusivement avec des mûres et du sucre. Il s'agit de mûres cueillies à maturité sur un arbre proche du mûrier platane. Les fruits cueillis ont une forme longiligne d'environ 3 centimètres de long et sont plus sucrés que les mûres sauvages que l'on ramasse sur les baies en Europe.

Ce sirop est préparée par la célèbre maison Mymouné qui perpétue les traditions ancestrales de conservation des condiments utilisées dans la cuisine libanaise.

Médaillé Great Taste en 2017.

Au Liban, le sirop de mûre est considéré comme la boisson estivale rafraichissante par excellence. Il peut également est être versé sur des gâteaux, des yaourts ou des desserts.

Ce délicieux sirop de mûre provient directement de petits agriculteurs de la vallée de la Bekaa.

Le saviez-vous ? Au Liban, les mûriers sont liés à l'apogée de la fabrication de la soie. De 1872 à 1910, la production de soie était considérée comme le pilier de l'économie libanaise. La plupart des familles libanaises élevaient des vers à soie à la maison, c'est pourquoi elles cultivaient des mûriers dans leurs jardins.